dimanche 31 janvier 2010
samedi 30 janvier 2010
vendredi 29 janvier 2010
mardi 19 janvier 2010
lundi 11 janvier 2010
samedi 9 janvier 2010
Defendons Facebook
défendons Facebook
il est de bon ton chez l'internaute petit bourgeois de critiquer facebook twitter ou meetic
de même le travailleur des médias du haut de son tee shirt made in india se croit finaud de faire de même
que la malediction de karl marx s'abatte sur eux
ces braves limaçonophiles oublient quelques données
ils font comme si le l'internaute était mono maniaque de l'écran
hors ne vous en déplaise tout surfeur expérimente se sert de routeurs multi-onglets voir de plusieurs écrans
ainsi il mène de front plusieurs discussions o en écoutant MM et Dalida en même temps tout en se gavant de chorizo trempé dans le nutella
ainsi j'écris cette propa en écoutant un screamer de blues ,avec 8 onglets ouverts ,en me levant pour dessiner à ma table , en caressant mon chat sur les genoux et téléphonant ou envoyant mails et sms et en ayant une web-cam ronronnante
activités normales de geek !
alors de grâce oubliez nous avec votre humour potache
oui nous savons que Facebook est américain ou vénusien
oui nous savons que ce sont des aspirateurs de données
mais on s'en fout
un jour ici un jour ailleurs
le net des surfeurs libertaires ,feignants ,prageurs de fichiers , individualistes linuxien / gnu n'est pas votre monde
je suis sur Facebook et me moque bien de ce q ca deviendra ,je suis deja ailleurs laissant à chaque fois une mue de serpent à l'ancien endroit
l'avatar est notre prophète iiiii
mais bien sur vous ne comprenez pas cet humour
aller au boulot aller plutôt nous creer des écrans immatériels holographiques pour nos futures ordis de poche
5 ans tu dis pfffff c'est long !!
il est de bon ton chez l'internaute petit bourgeois de critiquer facebook twitter ou meetic
de même le travailleur des médias du haut de son tee shirt made in india se croit finaud de faire de même
que la malediction de karl marx s'abatte sur eux
ces braves limaçonophiles oublient quelques données
ils font comme si le l'internaute était mono maniaque de l'écran
hors ne vous en déplaise tout surfeur expérimente se sert de routeurs multi-onglets voir de plusieurs écrans
ainsi il mène de front plusieurs discussions o en écoutant MM et Dalida en même temps tout en se gavant de chorizo trempé dans le nutella
ainsi j'écris cette propa en écoutant un screamer de blues ,avec 8 onglets ouverts ,en me levant pour dessiner à ma table , en caressant mon chat sur les genoux et téléphonant ou envoyant mails et sms et en ayant une web-cam ronronnante
activités normales de geek !
alors de grâce oubliez nous avec votre humour potache
oui nous savons que Facebook est américain ou vénusien
oui nous savons que ce sont des aspirateurs de données
mais on s'en fout
un jour ici un jour ailleurs
le net des surfeurs libertaires ,feignants ,prageurs de fichiers , individualistes linuxien / gnu n'est pas votre monde
je suis sur Facebook et me moque bien de ce q ca deviendra ,je suis deja ailleurs laissant à chaque fois une mue de serpent à l'ancien endroit
l'avatar est notre prophète iiiii
mais bien sur vous ne comprenez pas cet humour
aller au boulot aller plutôt nous creer des écrans immatériels holographiques pour nos futures ordis de poche
5 ans tu dis pfffff c'est long !!
jeudi 7 janvier 2010
chaperon rouge 2010
il était une fois une jeune fille qui croisa un monsieur dans un bois, que croyez vous qu'il arriva ?
il porta son lourd panier sur 5 km et jura que l'on ne l'y reprendrais plus !!
maurice
il porta son lourd panier sur 5 km et jura que l'on ne l'y reprendrais plus !!
maurice
mercredi 6 janvier 2010
lundi 4 janvier 2010
SEXAPILES
je descendais de ma jaguar noire diplomatique
tu sortais du bar tabac de la rue métallique
nos corps z'affairès z'et distraits se sont choqués
A terre serviette en crocodile et sac coquet
excusez moi mademoiselle ,pardon monsieur
vous êtes blessée ? je vous ai fait mal ?
devant moi une jeune fille de vingt printemps
devant elle un vieillard de soixante dix ans
brune mince vive un regard malicieux de souris
gris terne élégant ,des yeux aux mille souvenirs
elle avait un peu de temps ,j'en avais trop
un coca fraise moderne, un martini-gin désuet
nous voilà à une table de son café préféré
ma langue de crocodile happait ses odeurs
elle pesait mon costume d'alpaga fait main
De chaque extrémités de la vie jaillit l'étincelle
je savais ce qu'elle pensait elle savait ce que je pensais
ce soir je ramperais sur son corps doré à la lampe à bronzer
demain elle dénudera son corps bronzé au soleil de Tahiti
ce soir elle découvrira le luxe et le compromis ,sans hâte
demain elle s'offrira le luxe de la lenteur ,sans faim
Ils diront ,salaud de riche qui se paye de la chair fraiche
Elles siffleront ,salope qui offre son cul contre son fric
oui nos yeux se disent déjà tout ça entre deux gorgées muettes
Ils ne verront pas mes chairs flétries se regonfler d'envies
Elles ne sauront pas les paupières inquiètes s'apaiser
enfin me réveiller à nouveau ,enfin dormir sans peur du demain
je levais mon verre de mauvaise qualité = oui demandais -je ?
Elle toqua sèchement sa bouteille contre = oui
La limousine s'enfonce vers les beaux quartiers de la capitale
le chauffeur impassible garde un silence expérimenté
sur le cuir patiné de la banquette arrière ,doigts emmêlés
deux corps serrés l'un contre l'autre s'apprennent
Or contre jeunesse ,énergie vitale contre château en Espagne
ou tout simplement coup de foudre ?
md
tu sortais du bar tabac de la rue métallique
nos corps z'affairès z'et distraits se sont choqués
A terre serviette en crocodile et sac coquet
excusez moi mademoiselle ,pardon monsieur
vous êtes blessée ? je vous ai fait mal ?
devant moi une jeune fille de vingt printemps
devant elle un vieillard de soixante dix ans
brune mince vive un regard malicieux de souris
gris terne élégant ,des yeux aux mille souvenirs
elle avait un peu de temps ,j'en avais trop
un coca fraise moderne, un martini-gin désuet
nous voilà à une table de son café préféré
ma langue de crocodile happait ses odeurs
elle pesait mon costume d'alpaga fait main
De chaque extrémités de la vie jaillit l'étincelle
je savais ce qu'elle pensait elle savait ce que je pensais
ce soir je ramperais sur son corps doré à la lampe à bronzer
demain elle dénudera son corps bronzé au soleil de Tahiti
ce soir elle découvrira le luxe et le compromis ,sans hâte
demain elle s'offrira le luxe de la lenteur ,sans faim
Ils diront ,salaud de riche qui se paye de la chair fraiche
Elles siffleront ,salope qui offre son cul contre son fric
oui nos yeux se disent déjà tout ça entre deux gorgées muettes
Ils ne verront pas mes chairs flétries se regonfler d'envies
Elles ne sauront pas les paupières inquiètes s'apaiser
enfin me réveiller à nouveau ,enfin dormir sans peur du demain
je levais mon verre de mauvaise qualité = oui demandais -je ?
Elle toqua sèchement sa bouteille contre = oui
La limousine s'enfonce vers les beaux quartiers de la capitale
le chauffeur impassible garde un silence expérimenté
sur le cuir patiné de la banquette arrière ,doigts emmêlés
deux corps serrés l'un contre l'autre s'apprennent
Or contre jeunesse ,énergie vitale contre château en Espagne
ou tout simplement coup de foudre ?
md
dimanche 3 janvier 2010
samedi 2 janvier 2010
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